Aller. On remue l'amat entier, parait que ca fait fondre les graisses.
On bombe le torse, on courbe léchine facon dos creux et on ouvre la bouche. On simule quoi. On s'predn au jeu et à force de se dire que tout est jouissif on jouie de tout. Même de la ridicule simulation qui ne servira qu'a renforcé l'égo de ce bauf musclé qui n'a jamais terminé un livre parce que le someil ou l'envie de main droite lui été venu. Alors on simule toujours. On simule le bonheur, la jouissance dans la courbure.
J'ai terminé. Je suis passé à autre chose, j'avais oublier de reprendre. C'est désolent.
"Encore la gueule de bois encore. Elle ramasse le fond d'son porte monnaie et file tout o serveur. Garder tout. C'est pour un café, sa vaut le coup. Un café trop brûlant. Elle prendra tellement de temps a le boire que sa clop' va sconsumer et elle regrettera. Ca devient cher. Elle fait avec. Elle croise les jambes, les décroisent, les recroisent. Elle regardent les gens, ils la regarde. Mais tfacon c'est jamais le même regard , elle les trouve a vomir, ils la trouvent ridicule. Toujours. Elle tripote sa frange. La remet en place. Ralume une clop’. Ses chouzz sont sale, celles du voisin brillante a point. Encore un qui sla joue. Le cliché." [ 18/10/06 ]
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